Titre :	L’aviculture traditionnelle dans les exploitations familiales du bassin de l’Anambé : Situation actuelle, contraintes et perspectives de développement
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Diandy, Mouhamadou Abdoulaye, Auteur
Editeur :	Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr
Année de publication :	2013
Importance :	39 p.
Présentation :	ill., couv. ill. en coul.
Format :	30 cm
Note générale :	[Mém. de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2013]
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Aviculture traditionnelle  Sécurité alimentaire  Ménages  Développement rural  Filière avicole  Maladie de Newcastle  Anambé  Kolda
Résumé :	Le bassin de l’Anambé regorge d’énormes potentialités agricoles. Malgré tout, la région reste confrontée à une insécurité alimentaire profonde touchant presque toutes les couches sociales. Pour pallier une telle situation, le développement de l’aviculture traditionnelle devra constituer une priorité car il peut participer significativement à l’amélioration des conditions de vie de nombreux ménages ruraux. Ainsi une étude à été réalisée pour mieux comprendre la filière avicole rurale. A cet effet un questionnaire à été soumis à 48 exploitations agricoles familiales pour récolter des informations relatives à la conduite d’élevage et aux contraintes de l’aviculture. Dans la zone, le système d’élevage est de type traditionnel avec des effectifs moyens de 21,47 sujets/exploitation. L’habitat ne répond pas aux normes d’hygiène, le matériel d’élevage est constitué de matériaux de récupération. Aucun système d’alimentation rationnel n’est pratiqué, la volaille divague toute la journée à la recherche de sa nourriture. Un apport de quelques poignées de grains de céréale lui est faite 2 à 3 fois par jour sans complémentation minérale ni vitaminée. L’âge d’entrée en ponte est d’environ 6 à 7mois, le sevrage 1 à 2 mois et la couvaison dure 3 semaines. Le nombre de couvées varie de 4 à 5 avec 8 à 12 œufs produits par couvée. La productivité de la volaille locale est faible à cause d’une mortalité des sujets due aux épizooties, aux prédateurs, aux fortes pluies, etc. Chez les coqs améliorateurs, une mortalité de 44,83% a été enregistrée. La principale contrainte de l’aviculture dans cette zone est la maladie de Newcastle. Cependant on peut noter d’autres contraintes à savoir : l’alimentation, l’habitat, l’amélioration génétique, etc. Les prix de vente de la volaille varient entre 1500 et 2000 F CFA pour la poule, 2500 et 3000 F CFA pour le coq. Les innovations apportées par les programmes d’amélioration de l’aviculture sont loin d’avoir l’impact escompté et la diffusion des technologies reste faible.
Permalink :	http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6283

L’aviculture traditionnelle dans les exploitations familiales du bassin de l’Anambé : Situation actuelle, contraintes et perspectives de développement [texte imprimé] / Diandy, Mouhamadou Abdoulaye, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2013 . - 39 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2013]
Langues : Français (fre)

Mots-clés :	Aviculture traditionnelle  Sécurité alimentaire  Ménages  Développement rural  Filière avicole  Maladie de Newcastle  Anambé  Kolda
Résumé :	Le bassin de l’Anambé regorge d’énormes potentialités agricoles. Malgré tout, la région reste confrontée à une insécurité alimentaire profonde touchant presque toutes les couches sociales. Pour pallier une telle situation, le développement de l’aviculture traditionnelle devra constituer une priorité car il peut participer significativement à l’amélioration des conditions de vie de nombreux ménages ruraux. Ainsi une étude à été réalisée pour mieux comprendre la filière avicole rurale. A cet effet un questionnaire à été soumis à 48 exploitations agricoles familiales pour récolter des informations relatives à la conduite d’élevage et aux contraintes de l’aviculture. Dans la zone, le système d’élevage est de type traditionnel avec des effectifs moyens de 21,47 sujets/exploitation. L’habitat ne répond pas aux normes d’hygiène, le matériel d’élevage est constitué de matériaux de récupération. Aucun système d’alimentation rationnel n’est pratiqué, la volaille divague toute la journée à la recherche de sa nourriture. Un apport de quelques poignées de grains de céréale lui est faite 2 à 3 fois par jour sans complémentation minérale ni vitaminée. L’âge d’entrée en ponte est d’environ 6 à 7mois, le sevrage 1 à 2 mois et la couvaison dure 3 semaines. Le nombre de couvées varie de 4 à 5 avec 8 à 12 œufs produits par couvée. La productivité de la volaille locale est faible à cause d’une mortalité des sujets due aux épizooties, aux prédateurs, aux fortes pluies, etc. Chez les coqs améliorateurs, une mortalité de 44,83% a été enregistrée. La principale contrainte de l’aviculture dans cette zone est la maladie de Newcastle. Cependant on peut noter d’autres contraintes à savoir : l’alimentation, l’habitat, l’amélioration génétique, etc. Les prix de vente de la volaille varient entre 1500 et 2000 F CFA pour la poule, 2500 et 3000 F CFA pour le coq. Les innovations apportées par les programmes d’amélioration de l’aviculture sont loin d’avoir l’impact escompté et la diffusion des technologies reste faible.
Permalink :	http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6283