Titre :	Performances techniques d’un lot de poulets de chair élevés en cage artisanale : poids moyen par semaine, quantité d’aliment consommée, Gain Moyen Quotidien, Indice de Consommation et mortalité.
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Mame Awa Bousso Diagne, Auteur
Editeur :	Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr
Année de publication :	2016
Importance :	32 p.
Présentation :	ill., couv. ill. en coul.
Format :	30 cm
Note générale :	[Mém de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 2016]
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Aviculture, Poulet de chair, Performances techniques, Cage artisanale.
Résumé :	Au Sénégal, l’élevage participe à hauteur de 4,3 % au Produit Intérieur Brut (PIB) national. Le système de production familial en aviculture est dominé par celui semi-industriel depuis l’interdiction des importations de volaille ou de produits avicoles. Malgré la forte demande en viande de la population, la consommation du poulet reste un luxe dans la plus part des ménages du pays. Les plus fortes productions en viande de poulet ou d’œufs de consommation sont enregistrées lors des évènements religieux (ANSD, 2013). La cherté du prix de vente du poulet de chair est due au coût élevé des infrastructures et intrants avicoles (matériel d’élevage, bâtiment, aliment, médicaments etc.). C’est pour cette raison que l’étude des performances techniques d’un lot de poulets de chair élevés en cage artisanale a été menée. Le travail expérimental consiste à noter le poids moyen, la quantité d’aliment distribuée, le Gain Moyen Quotidien (GMQ), l’Indice de Consommation (IC) et les mortalités par semaine de trois (3) lots de 50 poulets de chair (souche Cobb 500). Il s’agissait de comparer ces paramètres à ceux obtenus dans les bâtiments avicoles. Par ailleurs, une fiche de suivi hebdomadaire a été utilisée pour noter les différentes données zootechniques. Les résultats ont montré que le poids moyen des poulets obtenu à 42 jours d’élevage est de 2 387 g, résultat supérieur à celui obtenus dans trois exploitations du département de Louga (1 907 g, 1 957 g et 1 805 g). La quantité d’aliment distribuée est de 598,14 kg (soit 3,99 kg/sujet). Le GMQ est de 55,81 g/jour, l’IC de 1,67 et le taux de mortalité est de 1,33 %. Ces résultats sont comparables à ceux obtenus par Anonyme (2006) qui sont 2,2 kg de poids vif à 42 jours, une consommation moyenne en aliment de 4 kg, un GMQ de 54 g/jour, un IC de 1,8 et un taux de mortalité de 4 %. L’amortissement des bâtiments, la cherté des intrants, le manque d’organisation des producteurs, l’inadaptabilité des stratégies politiques de la filière, les conditions climatiques de la zone sont les principales contraintes de l’aviculture semi-industrielle à Louga. En somme, l’étude semble montrer que l’élevage des poulets de chair en cage artisanale pourrait donner des performances similaires voire meilleures que celles obtenues en bâtiment.
Permalink :	http://biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6149

Performances techniques d’un lot de poulets de chair élevés en cage artisanale : poids moyen par semaine, quantité d’aliment consommée, Gain Moyen Quotidien, Indice de Consommation et mortalité. [texte imprimé] / Mame Awa Bousso Diagne, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2016 . - 32 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 2016]
Langues : Français (fre)

Mots-clés :	Aviculture, Poulet de chair, Performances techniques, Cage artisanale.
Résumé :	Au Sénégal, l’élevage participe à hauteur de 4,3 % au Produit Intérieur Brut (PIB) national. Le système de production familial en aviculture est dominé par celui semi-industriel depuis l’interdiction des importations de volaille ou de produits avicoles. Malgré la forte demande en viande de la population, la consommation du poulet reste un luxe dans la plus part des ménages du pays. Les plus fortes productions en viande de poulet ou d’œufs de consommation sont enregistrées lors des évènements religieux (ANSD, 2013). La cherté du prix de vente du poulet de chair est due au coût élevé des infrastructures et intrants avicoles (matériel d’élevage, bâtiment, aliment, médicaments etc.). C’est pour cette raison que l’étude des performances techniques d’un lot de poulets de chair élevés en cage artisanale a été menée. Le travail expérimental consiste à noter le poids moyen, la quantité d’aliment distribuée, le Gain Moyen Quotidien (GMQ), l’Indice de Consommation (IC) et les mortalités par semaine de trois (3) lots de 50 poulets de chair (souche Cobb 500). Il s’agissait de comparer ces paramètres à ceux obtenus dans les bâtiments avicoles. Par ailleurs, une fiche de suivi hebdomadaire a été utilisée pour noter les différentes données zootechniques. Les résultats ont montré que le poids moyen des poulets obtenu à 42 jours d’élevage est de 2 387 g, résultat supérieur à celui obtenus dans trois exploitations du département de Louga (1 907 g, 1 957 g et 1 805 g). La quantité d’aliment distribuée est de 598,14 kg (soit 3,99 kg/sujet). Le GMQ est de 55,81 g/jour, l’IC de 1,67 et le taux de mortalité est de 1,33 %. Ces résultats sont comparables à ceux obtenus par Anonyme (2006) qui sont 2,2 kg de poids vif à 42 jours, une consommation moyenne en aliment de 4 kg, un GMQ de 54 g/jour, un IC de 1,8 et un taux de mortalité de 4 %. L’amortissement des bâtiments, la cherté des intrants, le manque d’organisation des producteurs, l’inadaptabilité des stratégies politiques de la filière, les conditions climatiques de la zone sont les principales contraintes de l’aviculture semi-industrielle à Louga. En somme, l’étude semble montrer que l’élevage des poulets de chair en cage artisanale pourrait donner des performances similaires voire meilleures que celles obtenues en bâtiment.
Permalink :	http://biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6149