Titre : |
Performances agronomiques de différents variétés de riz en conditions de salinité dans le delta du fleuve Sénégal |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Ababacar NDAO, Auteur |
Editeur : |
Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr |
Année de publication : |
2016 |
Importance : |
38 p. |
Présentation : |
ill., couv. ill. en coul. |
Format : |
30 cm |
Note générale : |
[Mém de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR : 2016] |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Riziculture irriguée, Salinité, Fertilisation, Génotype, Oryza sativa, Riz, Performances agronomiques. |
Résumé : |
Dans le sahel et particulièrement au niveau de la vallée du fleuve Sénégal, la salinité est l’une des facteurs majeurs de réduction des rendements en riziculture irriguée. C’est ainsi qu’une étude de ses effets dépressifs a été menée à Ndiaye avec un dispositif en Split-split-plot Design avec trois niveaux de salinité que sont S1, S2 et S3 et correspondant respectivement aux conductivités électriques de 0,5 à 0,8 dS/m, de 2 dS/m et plus de 3,5 dS/m ; deux niveaux de fertilisations F1 (100 kg NPK/ha) et F2 (200 kg NPK/ha plus 100 kg N/ha) et cinq génotypes (IR63275-B-1-1-3-3-2, WAS73-B-B-231-4, NERICA-L9, FL478 et IR29). Les résultats ont révélé que : lorsque la salinité augmente, les durées de cycle s’allongent. Avec des niveaux élevés de salinité et de fertilisation (S3F2), la croissance en hauteur a été meilleure (82,3cm), et le tallage plus développé (112,25 talles). Pour tous les traitements, le niveau moyen de fertilité des épillets a toujours été au-delà de 90%. La variété reconnue tolérante à la salinité, le FL478, a généralement obtenu les plus faibles hauteurs et les niveaux minimaux de fertilité ; son tallage a également été la plus réduite. L’augmentation quantitative de la fumure de fond et le double apport de celle de couverture (F2), a significativement élevé le rendement de tous les génotypes quel que soit le niveau de la salinité. Cette dernière a toujours réduit le rendement, lorsqu’elle est élevée. Ainsi, le rendement le plus important (6,7 t/ha) a été fourni par la parcelle S1F2. Le potentiel de production du riz s’est le plus exprimé en contre saison qu’en hivernage. La contre saison 2016 a offert le meilleur rendement moyen par rapport aux autres saisons, soit 5,21t/ha.
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Permalink : |
http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6111 |
Performances agronomiques de différents variétés de riz en conditions de salinité dans le delta du fleuve Sénégal [texte imprimé] / Ababacar NDAO, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2016 . - 38 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm. [Mém de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR : 2016] Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Riziculture irriguée, Salinité, Fertilisation, Génotype, Oryza sativa, Riz, Performances agronomiques. |
Résumé : |
Dans le sahel et particulièrement au niveau de la vallée du fleuve Sénégal, la salinité est l’une des facteurs majeurs de réduction des rendements en riziculture irriguée. C’est ainsi qu’une étude de ses effets dépressifs a été menée à Ndiaye avec un dispositif en Split-split-plot Design avec trois niveaux de salinité que sont S1, S2 et S3 et correspondant respectivement aux conductivités électriques de 0,5 à 0,8 dS/m, de 2 dS/m et plus de 3,5 dS/m ; deux niveaux de fertilisations F1 (100 kg NPK/ha) et F2 (200 kg NPK/ha plus 100 kg N/ha) et cinq génotypes (IR63275-B-1-1-3-3-2, WAS73-B-B-231-4, NERICA-L9, FL478 et IR29). Les résultats ont révélé que : lorsque la salinité augmente, les durées de cycle s’allongent. Avec des niveaux élevés de salinité et de fertilisation (S3F2), la croissance en hauteur a été meilleure (82,3cm), et le tallage plus développé (112,25 talles). Pour tous les traitements, le niveau moyen de fertilité des épillets a toujours été au-delà de 90%. La variété reconnue tolérante à la salinité, le FL478, a généralement obtenu les plus faibles hauteurs et les niveaux minimaux de fertilité ; son tallage a également été la plus réduite. L’augmentation quantitative de la fumure de fond et le double apport de celle de couverture (F2), a significativement élevé le rendement de tous les génotypes quel que soit le niveau de la salinité. Cette dernière a toujours réduit le rendement, lorsqu’elle est élevée. Ainsi, le rendement le plus important (6,7 t/ha) a été fourni par la parcelle S1F2. Le potentiel de production du riz s’est le plus exprimé en contre saison qu’en hivernage. La contre saison 2016 a offert le meilleur rendement moyen par rapport aux autres saisons, soit 5,21t/ha.
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Permalink : |
http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6111 |
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