| Titre : |
Analyse socio-économique de l’élevage des caprins dans la commune de Gandiaye, Région de Kaolack, Sénégal |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Ndiaye, Amacodou, Auteur |
| Editeur : |
Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr |
| Année de publication : |
2022 |
| Importance : |
32 p. |
| Présentation : |
ill., couv., ill., en coul. |
| Format : |
30 cm |
| Note générale : |
[Mém. de fin d'études : ISFAR ex ENCR : Elevage : 2022] |
| Langues : |
Français (fre) |
| Mots-clés : |
Elevage caprin, Chèvres, Economie, Etude socioéconomique, Caractérisation, Contraintes, Gandiaye |
| Résumé : |
L’élevage de caprins dans la commune de Gandiaye (Kaolack) Sénégal a fait l’objet d’une étude socioéconomique. Pour se faire, un échantillon de 100 éleveurs a été enquêté. Il s’agissait de caractériser cet élevage de caprins au plan socioéconomique et technique. Les enquêtes ainsi réalisés ont donné les résultats suivants : les caprins sont détenus par les hommes pour 61% et les femmes pour 39%. Les mariés qui constitueraient 64% des enquêtes ne sont pas en restes. L’âge moyen des éleveurs est 48,37ans. Il y’a 20% d’analphabètes et ceux qui ont fait des études coranique, primaire, moyen et universitaire représentent respectivement 19%, 30%, 23% et 8%. L’élevage des caprins est une activité secondaire pour 75% des éleveurs. Ils constituent la principale source de revenus pour les agropasteurs. Une partie du cheptel est destinée à l’autoconsommation et le reste pour la reconstitution du troupeau. Les races rencontrées dans cette commune sont ainsi constituées par la chèvre du sahel (48%), la chèvre naine ou chèvre Djallonké (35%), la chèvre rousse de Maradi (9%), les métis et les tchadiens (8%). Les caprins sont obtenus par achat (72%) pour le démarrage de l’activité. Le mode de conduite de l’élevage est le système extensif, les animaux sont conduits aux pâturages à l’aide d’un berger et certains sont laissés en divagation. Les différents problèmes sanitaires rencontrés au niveau de ces élevages sont les toux, la diarrhée, les mammites et les avortements. Les maladies à prédominance sont la pasteurellose, la peste des petits ruminants, la fièvre aphteuse. Les marges bénéficiaires par tête sont positives et évaluées entre 7952,39 FCFA, 3400 FCFA et 1428,57 FCFA. Les revenus sont destinés à plusieurs dépenses. Les contraintes les plus rencontrées sont liées à l’alimentation, aux vols de bétail, à l’accès aux soins vétérinaires et le manque d’abris adéquats.
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| Permalink : |
http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10922 |
Analyse socio-économique de l’élevage des caprins dans la commune de Gandiaye, Région de Kaolack, Sénégal [texte imprimé] / Ndiaye, Amacodou, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2022 . - 32 p. : ill., couv., ill., en coul. ; 30 cm. [Mém. de fin d'études : ISFAR ex ENCR : Elevage : 2022] Langues : Français ( fre)
| Mots-clés : |
Elevage caprin, Chèvres, Economie, Etude socioéconomique, Caractérisation, Contraintes, Gandiaye |
| Résumé : |
L’élevage de caprins dans la commune de Gandiaye (Kaolack) Sénégal a fait l’objet d’une étude socioéconomique. Pour se faire, un échantillon de 100 éleveurs a été enquêté. Il s’agissait de caractériser cet élevage de caprins au plan socioéconomique et technique. Les enquêtes ainsi réalisés ont donné les résultats suivants : les caprins sont détenus par les hommes pour 61% et les femmes pour 39%. Les mariés qui constitueraient 64% des enquêtes ne sont pas en restes. L’âge moyen des éleveurs est 48,37ans. Il y’a 20% d’analphabètes et ceux qui ont fait des études coranique, primaire, moyen et universitaire représentent respectivement 19%, 30%, 23% et 8%. L’élevage des caprins est une activité secondaire pour 75% des éleveurs. Ils constituent la principale source de revenus pour les agropasteurs. Une partie du cheptel est destinée à l’autoconsommation et le reste pour la reconstitution du troupeau. Les races rencontrées dans cette commune sont ainsi constituées par la chèvre du sahel (48%), la chèvre naine ou chèvre Djallonké (35%), la chèvre rousse de Maradi (9%), les métis et les tchadiens (8%). Les caprins sont obtenus par achat (72%) pour le démarrage de l’activité. Le mode de conduite de l’élevage est le système extensif, les animaux sont conduits aux pâturages à l’aide d’un berger et certains sont laissés en divagation. Les différents problèmes sanitaires rencontrés au niveau de ces élevages sont les toux, la diarrhée, les mammites et les avortements. Les maladies à prédominance sont la pasteurellose, la peste des petits ruminants, la fièvre aphteuse. Les marges bénéficiaires par tête sont positives et évaluées entre 7952,39 FCFA, 3400 FCFA et 1428,57 FCFA. Les revenus sont destinés à plusieurs dépenses. Les contraintes les plus rencontrées sont liées à l’alimentation, aux vols de bétail, à l’accès aux soins vétérinaires et le manque d’abris adéquats.
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