| Titre : |
Aviculture familiale dans la zone de Mékhé (Thiès, Sénégal): situation et perspectives |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Mbacké Diop, Auteur |
| Editeur : |
Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr |
| Année de publication : |
2021 |
| Importance : |
38 p. |
| Présentation : |
ill., couv. ill. en coul. |
| Format : |
30 cm |
| Note générale : |
[Mém. de fin d'études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 2021 ] |
| Langues : |
Français (fre) |
| Mots-clés : |
Aviculture familiale, Profession, Caractéristiques, Typologie, Mékhé |
| Résumé : |
L’aviculture familiale a fait l’objet d’une étude au niveau de la zone de Mékhé au Sénégal. L’objectif est d’appréhender la situation actuelle de l’aviculture familiale dans le cadre du développement des exploitations familiales. L’étude est conduite auprès de 110 éleveurs de volailles qui sont choisis au hasard. Les enquêtes portent sur les caractéristiques socioprofessionnelles des éleveurs, les systèmes et techniques d’élevage, la contribution de l’activité aux charges familiales ainsi que des problèmes rencontrés. L’aviculture est exercée par (60,91%) des femmes et de (39,09%) d’hommes. Ils sont principalement des mariés (79,09%) et des célibataires (19,09%) avec une moyenne d’âge compris entre 12 et 75 ans. Ils sont au plan professionnel des éleveurs (35,46%), des artisans (34,55%), des commerçants (17,27%), et des agriculteurs (8,18%). La motivation est économique (84,55%) et passionnelle (15,45%). Les poulets locaux représentent 57,17% de l’effectif total de volailles suivis des canards (17,28%). Ils font uniquement l’élevage de poulets locaux et canard (23,64%), des poulets locaux (20,91%), des chairs (15,45 %), des poulets locaux et pigeons (14,55 %), des poulets locaux, canards et pigeons (9,09%), des chairs et poulets exotiques (5,45%), des chairs, et poulets locaux (4,55%), des poulets locaux et pintades (2,73%), des poulets locaux et oies (1,82%). L’élevage en divagation est de 69,09%. 89,09% des aviculteurs ont des abris pour leurs volailles. Les aliments sont distribués 2 fois (matin et soir) par 70,00% des éleveurs. L’abreuvement des volailles se fait à volonté pour 84,55% des enquêtés. Les mesures prophylactiques ne sont pas observées pour 80,00% des enquêtés. Les maladies aviaires restent la principale cause de mortalités pour 91,74% des exploitants. Les pathologies sont plus présentes pendant la saison des pluies (28,18%), la période de forte chaleur (20,00%) et la période de froid (15,45%). L’aviculture ne couvre pas la charge familiale pour 73,64% des enquêtés. Les maladies, le problème écoulement, le manque d’encadrement, le vol et la prédation sont les principaux problèmes de cette activité. Pour un développement durable de cette filière, les éleveurs demandent un financement, une formation, et un moyen de lutte contre les maladies. |
| Permalink : |
http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10648 |
Aviculture familiale dans la zone de Mékhé (Thiès, Sénégal): situation et perspectives [texte imprimé] / Mbacké Diop, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2021 . - 38 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm. [Mém. de fin d'études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 2021 ] Langues : Français ( fre)
| Mots-clés : |
Aviculture familiale, Profession, Caractéristiques, Typologie, Mékhé |
| Résumé : |
L’aviculture familiale a fait l’objet d’une étude au niveau de la zone de Mékhé au Sénégal. L’objectif est d’appréhender la situation actuelle de l’aviculture familiale dans le cadre du développement des exploitations familiales. L’étude est conduite auprès de 110 éleveurs de volailles qui sont choisis au hasard. Les enquêtes portent sur les caractéristiques socioprofessionnelles des éleveurs, les systèmes et techniques d’élevage, la contribution de l’activité aux charges familiales ainsi que des problèmes rencontrés. L’aviculture est exercée par (60,91%) des femmes et de (39,09%) d’hommes. Ils sont principalement des mariés (79,09%) et des célibataires (19,09%) avec une moyenne d’âge compris entre 12 et 75 ans. Ils sont au plan professionnel des éleveurs (35,46%), des artisans (34,55%), des commerçants (17,27%), et des agriculteurs (8,18%). La motivation est économique (84,55%) et passionnelle (15,45%). Les poulets locaux représentent 57,17% de l’effectif total de volailles suivis des canards (17,28%). Ils font uniquement l’élevage de poulets locaux et canard (23,64%), des poulets locaux (20,91%), des chairs (15,45 %), des poulets locaux et pigeons (14,55 %), des poulets locaux, canards et pigeons (9,09%), des chairs et poulets exotiques (5,45%), des chairs, et poulets locaux (4,55%), des poulets locaux et pintades (2,73%), des poulets locaux et oies (1,82%). L’élevage en divagation est de 69,09%. 89,09% des aviculteurs ont des abris pour leurs volailles. Les aliments sont distribués 2 fois (matin et soir) par 70,00% des éleveurs. L’abreuvement des volailles se fait à volonté pour 84,55% des enquêtés. Les mesures prophylactiques ne sont pas observées pour 80,00% des enquêtés. Les maladies aviaires restent la principale cause de mortalités pour 91,74% des exploitants. Les pathologies sont plus présentes pendant la saison des pluies (28,18%), la période de forte chaleur (20,00%) et la période de froid (15,45%). L’aviculture ne couvre pas la charge familiale pour 73,64% des enquêtés. Les maladies, le problème écoulement, le manque d’encadrement, le vol et la prédation sont les principaux problèmes de cette activité. Pour un développement durable de cette filière, les éleveurs demandent un financement, une formation, et un moyen de lutte contre les maladies. |
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