Titre :	Caractérisation des peuplements de Khaya senegalensis (Desr.) A. Juss. (Caïlcédrat) dans la ville de Thiès-Sénégal
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Seye, Papa, Auteur
Editeur :	Bambey : ISFAR ex ENCR, 2022
Année de publication :	2022
Importance :	54 p
Présentation :	ill. couv. ill. en coul.
Format :	30 cm
Note générale :	[Mém. de fin d'études : ISFAR ex ENCR : Eaux et Forêts : 2022]
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Caractérisation, Foresterie, Coupe abusive, Urbanisation, Khaya senegalensis, Caïlcédrat, Foresterie urbaine, Thiés
Résumé :	Dans le contexte mondial, caractérisé par un réchauffement climatique, un intérêt particulier est de plus en plus accordé à la foresterie urbaine. La ville de Thiès dispose d’un potentiel de Khaya senegalensis (caïlcédrat). La pression démographique alliée à l’urbanisation a eu pour conséquence une forte agression sur ce dernier. C’est ainsi que les pieds de caïlcédrat subissent l’assaut des populations. Pour pallier les effets désastreux, cette étude a été initiée afin de contribuer à l’élaboration d’une stratégie de gestion et de restauration des vieux peuplements. Pour réaliser ce travail, la méthodologie adoptée a donc consisté à faire : une revue documentaire, une enquête sociologique dans 62 concessions, ensuite un entretien avec la municipalité et les services techniques et un inventaire forestier pieds par pieds. Les résultats de l’étude font état de 2955 Pieds dont 2888 pieds vivants pour un volume de Vt=22927,366 m3 reparti entre 21 sites dont les mieux pourvus sont : Base Militaire avec 658 pieds, Dixième : 400 pieds ; Avenue Malick Sy : 390 pieds ; Cité Ballabéy : 373 pieds ; Camp GMI : 247 pieds. Les classes de diamètre [80 ; 95[et [95 ; 110 [contiennent plus de sujets (615 ; 613 caïlcédrats), suivies des classes [50 ; 65[, [110 ; 125[, [35 ; 50[et [125 ; 140[. Par ailleurs parmi les personnes enquêtées, 91,94% perçoivent une diminution du potentiel. Celle-ci serait liée pour 46,77% des enquêtés à la coupe abusive, 32,26% à l’écorçage, 12,90% à la mise en place des infrastructures et 8,06% à l’urbanisation. Les résultats montrent en outre que 67,74% des enquêtées ont peur des dégâts provoqués durant la période pluvieuse alors que 24,19% se focalisent sur les dangers au bord de la route ; 8,06% disent que les arbres envahissent leurs maisons, 46% de la population soulignent l’aspect ombrage, 29,03% le but récréatif et le restant insiste sur la pharmacopée. Enfin l’étude révèle également que 79,03% des personnes enquêtées ne participent pas à l’effort de reboisement pour cause de forte divagation notée dans la ville, tandis que 20,97% travaillent en collaboration avec les Eaux et Forêts.
Permalink :	http://biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10915

Caractérisation des peuplements de Khaya senegalensis (Desr.) A. Juss. (Caïlcédrat) dans la ville de Thiès-Sénégal [texte imprimé] / Seye, Papa, Auteur . - [S.l.] : Bambey : ISFAR ex ENCR, 2022, 2022 . - 54 p : ill. couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : ISFAR ex ENCR : Eaux et Forêts : 2022]
Langues : Français (fre)

Mots-clés :	Caractérisation, Foresterie, Coupe abusive, Urbanisation, Khaya senegalensis, Caïlcédrat, Foresterie urbaine, Thiés
Résumé :	Dans le contexte mondial, caractérisé par un réchauffement climatique, un intérêt particulier est de plus en plus accordé à la foresterie urbaine. La ville de Thiès dispose d’un potentiel de Khaya senegalensis (caïlcédrat). La pression démographique alliée à l’urbanisation a eu pour conséquence une forte agression sur ce dernier. C’est ainsi que les pieds de caïlcédrat subissent l’assaut des populations. Pour pallier les effets désastreux, cette étude a été initiée afin de contribuer à l’élaboration d’une stratégie de gestion et de restauration des vieux peuplements. Pour réaliser ce travail, la méthodologie adoptée a donc consisté à faire : une revue documentaire, une enquête sociologique dans 62 concessions, ensuite un entretien avec la municipalité et les services techniques et un inventaire forestier pieds par pieds. Les résultats de l’étude font état de 2955 Pieds dont 2888 pieds vivants pour un volume de Vt=22927,366 m3 reparti entre 21 sites dont les mieux pourvus sont : Base Militaire avec 658 pieds, Dixième : 400 pieds ; Avenue Malick Sy : 390 pieds ; Cité Ballabéy : 373 pieds ; Camp GMI : 247 pieds. Les classes de diamètre [80 ; 95[et [95 ; 110 [contiennent plus de sujets (615 ; 613 caïlcédrats), suivies des classes [50 ; 65[, [110 ; 125[, [35 ; 50[et [125 ; 140[. Par ailleurs parmi les personnes enquêtées, 91,94% perçoivent une diminution du potentiel. Celle-ci serait liée pour 46,77% des enquêtés à la coupe abusive, 32,26% à l’écorçage, 12,90% à la mise en place des infrastructures et 8,06% à l’urbanisation. Les résultats montrent en outre que 67,74% des enquêtées ont peur des dégâts provoqués durant la période pluvieuse alors que 24,19% se focalisent sur les dangers au bord de la route ; 8,06% disent que les arbres envahissent leurs maisons, 46% de la population soulignent l’aspect ombrage, 29,03% le but récréatif et le restant insiste sur la pharmacopée. Enfin l’étude révèle également que 79,03% des personnes enquêtées ne participent pas à l’effort de reboisement pour cause de forte divagation notée dans la ville, tandis que 20,97% travaillent en collaboration avec les Eaux et Forêts.
Permalink :	http://biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10915