Titre :	Evaluation de la diversité floristique dans la commune de Diourbel et estimation de la séquestration de carbone des arbres en alignement sur ses axes routiers
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Diop, Aliou, Auteur
Editeur :	Bambey : ISFAR ex ENCR, 2022
Année de publication :	2022
Importance :	39 p
Présentation :	ill. couv. ill. en coul.
Format :	30 cm
Note générale :	[Mém. de fin d'études : ISFAR ex ENCR : Eaux et Forêts : 2022]
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Flore urbaine, Séquestration de carbone, Arbres d’alignement, Diversité floristique, Services écosystémiques, Carbone, Diourbel, Sénégal.
Résumé :	Aujourd’hui, l’arbre devient un élément essentiel pour un environnement urbain vivable et durable. Les possibilités de la foresterie urbaine peuvent être analysées par l’approche citadine pour envisager les conditions dans lesquelles ces derniers peuvent favoriser leur promotion. Cette étude a été réalisée dans le but de déterminer la diversité floristique et d’évaluer les services écosystémiques fournis par les arbres en alignement de voie de la ville de Diourbel. Pour ce faire, la méthodologie adoptée a donc consisté à faire : une revue documentaire, une enquête sociologique dans 98 concessions de la commune, l’inventaire des axes routiers, écoles et zones boisées. En plus de noter tous les arbres, ceux ayant un DBH ≥ 10 cm et une hauteur ≥ 2 m ont été estimés. Les résultats font ressortir une richesse floristique composée de 36 espèces réparties en 24 familles dont celle des Mimosaceae qui est la plus représentative (59,57 %). Les résultats font apparaitre sur les différents axes routiers un total de 332 pieds d’arbres répartis en 10 espèces et 8 familles dont la plus représentée est celle des Méliaceae. Il a été retenu que 67,68% de la population enquêtée estiment une augmentation du couvert végétal, 41,28% considèrent les arbres comme source de bien-être et lieu de récréation et 66,67% disent qu’ils ne créent aucun problème. Les causes de l’absence de l’arbre sont dues à 19,44% au manque d’espace, à 30,55% au manque de technicité et 33,33% à la divagation des animaux. Les enquêtés utilisent 11 espèces pour l’alimentation et 15 pour pharmacopée. Le constat est que la quasi-totalité des arbres de la commune sont introduits. Le taux de carbone séquestré s’élève à 140,77 tonnes. Ce pendant un suivi régulier de la composante ligneuse urbaine permettra d’en cerner la dynamique spatiotemporelle et la contribution au stock de carbone d’où l’intérêt de les maintenir et de renforcer leurs densités et leurs diversités pour un équilibre écologique urbain plus durable.
Permalink :	http://biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10893

Evaluation de la diversité floristique dans la commune de Diourbel et estimation de la séquestration de carbone des arbres en alignement sur ses axes routiers [texte imprimé] / Diop, Aliou, Auteur . - [S.l.] : Bambey : ISFAR ex ENCR, 2022, 2022 . - 39 p : ill. couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : ISFAR ex ENCR : Eaux et Forêts : 2022]
Langues : Français (fre)

Mots-clés :	Flore urbaine, Séquestration de carbone, Arbres d’alignement, Diversité floristique, Services écosystémiques, Carbone, Diourbel, Sénégal.
Résumé :	Aujourd’hui, l’arbre devient un élément essentiel pour un environnement urbain vivable et durable. Les possibilités de la foresterie urbaine peuvent être analysées par l’approche citadine pour envisager les conditions dans lesquelles ces derniers peuvent favoriser leur promotion. Cette étude a été réalisée dans le but de déterminer la diversité floristique et d’évaluer les services écosystémiques fournis par les arbres en alignement de voie de la ville de Diourbel. Pour ce faire, la méthodologie adoptée a donc consisté à faire : une revue documentaire, une enquête sociologique dans 98 concessions de la commune, l’inventaire des axes routiers, écoles et zones boisées. En plus de noter tous les arbres, ceux ayant un DBH ≥ 10 cm et une hauteur ≥ 2 m ont été estimés. Les résultats font ressortir une richesse floristique composée de 36 espèces réparties en 24 familles dont celle des Mimosaceae qui est la plus représentative (59,57 %). Les résultats font apparaitre sur les différents axes routiers un total de 332 pieds d’arbres répartis en 10 espèces et 8 familles dont la plus représentée est celle des Méliaceae. Il a été retenu que 67,68% de la population enquêtée estiment une augmentation du couvert végétal, 41,28% considèrent les arbres comme source de bien-être et lieu de récréation et 66,67% disent qu’ils ne créent aucun problème. Les causes de l’absence de l’arbre sont dues à 19,44% au manque d’espace, à 30,55% au manque de technicité et 33,33% à la divagation des animaux. Les enquêtés utilisent 11 espèces pour l’alimentation et 15 pour pharmacopée. Le constat est que la quasi-totalité des arbres de la commune sont introduits. Le taux de carbone séquestré s’élève à 140,77 tonnes. Ce pendant un suivi régulier de la composante ligneuse urbaine permettra d’en cerner la dynamique spatiotemporelle et la contribution au stock de carbone d’où l’intérêt de les maintenir et de renforcer leurs densités et leurs diversités pour un équilibre écologique urbain plus durable.
Permalink :	http://biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10893